Fiche d’identité
Réside : Dans de nombreux pays.
Espèce : Humain.
Caractéristiques : Chef des Death Worm.
État : Tué par Michelangelo.
Unique apparition
The lost years #5
Créateurs
Tom Waltz (2021)
Kevin Eastman (2021)
Olgoi-Khorkhoi était le nom donné à un terrible homme à la tête des Death Worm, une organisation internationale de bandits qui pillaient et tuaient les plus démunis. Principalement en Asie, rongée par la pauvreté et un terrible tremblement de terre. Il se prétendait en outre être le descendant de Genghis Khan.
Michelangelo entendit parler de Death Worm la première fois lors de sa retraite au Japon, après avoir fui New York (The last ronin #3). Il se fit agresser par certains de ces hommes dans son propre jardin. Décidé à repartir dans sa ville, il trouva un village totalement anéanti par les hommes de Death Worm. Après les avoir massacrés, il jura vengeance, entendant parler de leur chef (The lost years #1). Dans sa nouvelle croisade, il fit la rencontre du maître Yip, qui le forma à de nouvelles techniques de combat (The lost years #2).
Durant son périple, la tortue vécu durant plusieurs années au sein d’une petite communauté mongole, jusqu’à lui faire oublier ses désirs de vengeances. Mais un jour, ils se firent, eux aussi, massacrer par les hommes de Death Worm (The lost years #3). Michelangelo se fit enlever et jeter en arènes pour le bon plaisir de ces individus (The lost years #4). Une fois sortie, la tortue obtint l’emplacement où se trouvait Olgoi-Khorkhoi et partit pour Rome le tuer.
Le Death Worm formait justement de nouvelles recrues dans le Colisée, abandonné. Michelangelo lança une attaque surprise avec du fumigène, massacrant les recrues. Attaqué par un colosse, il le prit initialement pour Olgoi-Khorkhoi. Mais tué bien trop facilement, le mutant comprit qu’il s’était trompé. Le véritable Death Worm se dressait dans son dos. De carrure peu impressionnante, l’homme était pourtant un habile guerrier. Mais son arrogance et ses desseins mégalomanes furent arrêtés par un Michelangelo nourrit de ses désirs de vengeance. Sortant ses tonfas électriques, il lui envoya une décharge dans le cou, le terrassant. L’homme mourut sur le coup, le corps encore fumant (The lost years #5).
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