En 2019, le dessinateur brésilien Mateus Santolouco nous avait présenté une œuvre totalement hors du commun avec son Shredder in hell. Une histoire qu’il a peaufiné des mois durant pour un résultat hallucinant de détails. Une œuvre d’art. Mais dès lors, il n’était plus revenu sur un titre des Tortues Ninja. On a pu le voir cependant travailler sur les statuettes du français Fariboles et son design a été repris par The Loyal Subjects sur une nouvelle gamme de figurines (en savoir plus).
Série principale
Le panel d’IDW Publishing, présenté hier à la Comic Con de San Diego était très alléchant. Outre l’annonce de The last ronin II, c’était également l’occasion pour l’éditeur de dévoiler quelques un de ses projets à venir. Notamment le retour de Mateus Santolouco dans une nouvelle mini-série du nom de The untold destiny of the Foot Clan. Elle sera écrite par le scénariste Erik Burnham.
Pour l’heure, nous ne savons strictement rien de cette mini-série, hormis qu’il s’agira d’une sorte d’hommage à The secret history of the Foot Clan, sortie en décembre 2012 et qui avait propulsé Santolouco sur le devant de la scène. Cette fois, nous devrions en apprendre plus sur l’encore très énigmatique Karai et les nouveaux membres de son Foot Clan.
Si vous n’avez pas lu la conclusion de The Armageddon Game #8, n’allez pas plus loin ! Attention risques de spoils !
À la fin de The Armageddon Game #8, Karai partait accompagnée de plusieurs personnages issus de plusieurs arcs narratifs. Casey Jones, mais aussi les « perdus » Zodi et Krisa ou encore Clyde. De quoi explorer de nouveaux horizons.
Santolouco nous propose ici quelques concept arts pour cette aventure à venir prochainement. Parmi elles, un homme portant un masque de samurai étrange, rappelant un chien. De même sur son blason. Il pourrait s’agir d’un membre du Dog Star Gang, un groupe de mafieux japonais créés pour les TMNT Adventures d’Archie Comics et répondant aux ordres de Chien Khan. Si c’est le cas, il y aura de belles batailles de gangs en perspective ! Et illustrées sous le crayon de Santolouco, on ne peut que s’en réjouir par avance.