Fabricant : NECA.
Créateurs : Peter Laird, Kevin Eastman, Fred Wolf, David Wise.
Date de création : Janvier 1987.
Années : 2017 puis 2019.
Wave : 1.
Série : Original cartoon series.
Lieux de production : Chine.
Studio de modélisme : NECA, sous la direction de Randy Falk.
Sculpteur : Trevor Zammit.
Peinture : Jon Wadell et Geoffrey Trapp.
Design du packaging : Chris Raimo.
Photographies : Matthew Kloberdanz.
Taille : 13,5 cm.
Nombre d’articulations : 24.
Nombre d’accessoires : 7.
Univers : Les Tortues Ninja (1987).
Date de sortie américaine : Juillet 2017 puis février 2019.
Date de sortie Française : Fin octobre / début novembre 2019.
Prix originel américain : 54,99$ (prix conseillé par NECA).
Prix originel français : Autour de 65€.
Réédition : 2019.
Présentation du personnage
Leonardo est le leader des chevaliers d’écailles, et l’élève le plus assidu de leur maître, Splinter. Focalisé sur son entraînement, il lutte sans relâche contre Shredder, Krang et leur armée de soldats Foot, ainsi que les nombreux ennemis qui tentent de les écraser. Un seul mot d’ordre pour Leonardo: l’honneur, un mot simple mais qui signifie énormément à ses yeux.
La figurine de Leonardo a été sculptée par Trevor Zammit. Une nuit, alors que l’artiste avait travaillé plus de neuf heures sur la figurine du Gremlin Georges, il voulut réaliser une tortue du dessin animé de 1987. Après neuf heures de travail supplémentaires et au lever du soleil, la tortue était prête. Il la montra à Randy Falk, à la tête des productions du fabricant. Ce dernier adora et voulut lancer une production de ces figurines, dont la licence venait d’être acquise. Zammit commença le travail de sculpture de cette gamme en février 2015. Le premier modèle sortit à l’occasion du pack exclusif Arcade game de NECA pour le San Diego Comic Con 2016.
En 2017, NECA joua un grand coup, confirmant sa place de leader de l’époque en tant que fabricant de figurines pour la licence Tortues Ninja pour collectionneurs, en annonçant un pack de huit figurines spécialement consacré au dessin animé de 1987. Il s’agissait d’un pack de huit personnages, exclusif au San Diego Comic Con. La sculpture de Leonardo est identique à la figurine sortie l’année précédente, seule la peinture diffère.
Lors de l’annonce du pack, NECA n’hésita pas à se vanter, à très juste titre, qu’ils étaient les premiers à adapter en figurines les tortues du dessin animé. En effet, jusqu’alors les fabricants qui s’étaient lancés dans cette aventure avaient repris (par erreur ?) le style guide de la licence, c’est à dire les images promotionnelles, dessinées par Steve Lavigne et de Ryan Brown dans les années 80′-90′ et depuis réadaptées pour Nickelodeon. Nous pouvons citer notamment la gamme controversée des Classic collection en 2012 et 2013, ou plus récemment, les S. H. Figuarts de Bandai.
Le contrat liant NECA à Nickelodeon, jusqu’en août 2018 obligeait le fabricant à ne vendre des figurines à l’échelle 7″ que lors de salons comme les Comic Con, et en très petites quantités. Une fois cet accord revu, le fabricant put vendre ses figurines, que ce soit du film de 1990, ou du dessin animé de 1987, dans des boutiques avec accords exclusifs.
En février 2019, la veille du New York Toy Fair, NECA officialisa un partenariat avec Game Stop (dont les rumeurs allaient déjà bon train depuis quelques mois) pour vendre ses figurines du dessin animé de 1987 à travers des doubles packs. En mars 2019, NECA annonça que cet accord avec Nickelodeon avait pu être étendu au monde entier, et non plus uniquement aux États-Unis. Ainsi, l’Europe put bénéficier de ces figurines dès l’automne. La France reçut ses premières figurines entre la fin du mois d’octobre et le début du mois de novembre 2019, en fonction des distributeurs.
La figurine de Leonardo a été distribuée dans deux boîtes différentes. La première était celle de l’exclusivité du San Diego Comic Con de 2017. L’illustration de celle-ci avait été réalisée par Ken Mitchroney, à qui l’on doit une grande partie des premiers TMNT Adventures, publiés chez Archie Comics à partir d’août 1988. La boîte quant à elle était un hommage aux boîtes de rangement de figurines qui étaient très à la mode dans les années 80’, comme pour les Masters of the universe, ou encore les Tortues Ninja (voir galerie ci-dessous).
Avec l’arrivée de cette série dans les magasins début de 2019, ces figurines étaient vendues à travers des double-packs. Leonardo partageait sa boîte avec Shredder.
Celle-ci arbore des illustrations qui jurent avec le style proposé. Comme expliqué dans la section « conception », NECA a voulu faire de ces figurines l’exacte adaptation du design du dessin animé de 1987, un fait inédit. Ici, les illustrations des deux personnages reprennent justement ce style guide pourtant exclu (que l’on retrouve dans la wave 2 pour les figurines des tortues) au lieu d’intégrer un design qui se rapproche de la série.
Des vignettes avec les personnages présents se retrouvent de part et d’autre de l’avant du packaging. De chaque côté, ce sont les photographies officielles de Matthew Kloberdanz qui ornent la boîte. À l’arrière, une image présente la confrontation entre ces deux personnages et propose les autres figurines disponibles de cette série.
La figurine
La sculpture de la figurine de Leonardo est quasiment parfaite. Trevor Zammit a su reprendre de manière très juste le design de la tortue, en s’inspirant des épisodes de la première saison du dessin animé. Exit le style guide que l’on retrouve absolument partout, nous avons là enfin une figurine fidèle à ce qu’étaient les tortues dans cette série. Ce qui change ? Le plastron de la tortue est lisse, et ne possède pas de bordure sur le pourtour. La tortue est elle-même plus petite, et non élancée. Ses coudières et genouillères ne sont pas en trois parties, comme les tortues du comic originel ou du film de 1990, il s’agit bien d’une imitation de tissus plissé. Enfin, le visage est beaucoup plus aplati que les versions que Steve Lavigne et de Ryan Brown avaient commencés à propager sur les produits dérivés, encore repris aujourd’hui.
La figurine est presque entièrement réalisée dans du plastique rigide. Seuls le plastron et les parties en tissu sont légèrement plus souples, ainsi que la ceinture.
Le visage de la tortue est grimaçant, comme on a l’habitude de le voir régulièrement. C’est peut-être le seul défaut dans la sculpture de cette figurine. Si tous les visages sont différents, ils ne présentent pas beaucoup de variations d’expressions. Les tortues ouvrent plus ou moins la bouche, laissant apparaître les dents et fronçant les yeux. Des expressions différentes chez les tortues, comme on peut le retrouver dans la gamme du film de 1990, aurait été vraiment un plus. Outre cela, le visage de la tortue, comme de ses frères, est très aplati. Le résultat de ce côté laisse à désirer.
Pour le reste de la sculpture, il n’y a vraiment rien à redire. Nous sommes ici réellement face à un travail respectueux de ce design dessiné dans la première saison par les studios de la Toei. Les muscles sont bien présents, mais loin d’être exagérés. La carapace, sculptée dans un plastique rigide et creux, est très fidèle à ce qu’elle était dans le dessin animé, avec des écailles larges et une symétrie imparfaite. La ceinture est épaisse, la boucle avec la lettre de la tortue l’est encore plus. Les sabres de Leonardo peuvent se ranger dans des fourreaux courts, collés entre la carapace et la ceinture. Contrairement au Leonardo de S. H. Figuarts, il n’est pas possible de retirer ces fourreaux ou de remplacer la ceinture. Ces fourreaux sont, comme dans le dessin animé, de petite taille et imitant du tissu. Rien d’étuis longs comme l’avait fait curieusement Playmates Toys pour sa gamme des Classic collection. De même, sa ceinture n’est pas pourvue d’une lanière transversale.
Enfin, un point essentiel, et qui aurait mérité d’être plus souvent respecté dans le monde de la figurine, les dimensions de la tortue. Leonardo est tout simplement à l’échelle, par rapport aux humains. Shredder est donc beaucoup plus grand que Leonardo, comme dans le dessin animé. Merci NECA !!
Accessoires
Leonardo est accompagné de deux paires de mains interchangeables, sa paire de katanas et un tortuecom’ refermé.
Les sabres de Leonardo sont une fois encore très respectueux du style du dessin animé, avec une dimension un petit peu exagérée au niveau du haut de la lame. C’est cette dimension qui peut d’ailleurs s’avérer gênante lors du rangement des sabres dans les étuis, au dos de la figurine. Cela diverge certainement d’une figurine à l’autre, mais les étuis auraient mérités d’être un petit peu plus large, pour y insérer plus facile ces sabres. En résulte un risque de fragilisation de la lame au niveau de la garde, et une coloration marron sur cette lame, du fait du frottement avec ces étuis.
La version des sabres du Leonardo de S. H. Figuarts était également très bonne. Ces sabres étaient fins, comme sur l’image ci-contre. Que s’est-il passé ? Les dimensions de la lame varient simplement d’un dessinateur à l’autre, comme nous pouvions le voir régulièrement à travers les épisodes des séries de cette époque.
La poignée des sabres est lisse, sans bandelettes, comme dans le dessin animé. Pour les rentrer dans les mains de la tortue, il suffit de les faire glisser par le haut. Les mains étant rigides, il n’est pas possible de les faire entrer en écartant les doigts.
La figurine est accompagnée de deux paires de mains. Pour les changer, il suffit de tirer sur la main, fixée au poignet par une vis. La paire fixée sur la tortue dans sa boîte, est la version standard, disponible pour les quatre tortues et lui permettant de tenir les objets. Elle est articulée au niveau de la vis, afin de faire des mouvements vers haut et vers le bas. La seconde paire est plate. Si elle peut servir pour des positions de combat sans armes, elles sont également appropriées pour des tapes m’en trois avec ses frères. Mais comme Leonardo est la seule tortue à posséder ces mains, ce sera compliqué de le faire à plus de deux figurines !
Enfin, le dernier accessoire est simplement fantastique. Il s’agit du tortuecom’ fabriqué par Donatello. Leonardo en possède une version refermée. Le pack de Donatello possède une version refermée comme celle-ci, mais aussi une ouverte. Malgré sa petite taille, l’accessoire n’est pas en reste ; tous les détails y sont ! La rugosité de la partie arrière, le style carapace sur la partie avant, la fente d’ouverture du communicateur, et SURTOUT les antennes repliées dans une fente. Tous ces détails, comme le communicateur de Shredder, sont biens en reliefs et peints. Un vrai petit bijou ! Et ce n’est pas tout ! Celui-ci peut se glisser à la ceinture de la tortue, sur le flanc, il tient très bien.
Une tête de rechange aurait pu être attendue, comme chez S. H. Figuarts, mais pour le prix, c’est déjà une très bonne figurine qui n’a rien à envier à d’autres fabricants, bien au contraire. Il est également possible de lui adapter les mains de ses frères, permettant de varier les positions. Toutes les tortues possédant la même couleur de peau, cela ne posera aucun problème.
Peinture
La peinture est un autre excellent point de la figurine. Une fois encore, comme dans le dessin animé, nous avons un parfait respect du design du personnage. Toutes les tortues possèdent le même vert de peau, et ce vert est bien foncé, comme il se doit. Une fois encore, NECA est le seul fabricant, au moment de la production de cette figurine, à avoir respecté cela. Figuarts avait bien laissé ses quatre tortues avec le même vert, mais celui-ci était trop clair, plus proche du style guide qu’ils représentent, que du dessin animé.
Les figurines de la gamme du dessin animé de 1987 sont toutes « bicolor », avec un effet d’ombrage. La partie avant de la figurine est plus claire qu’à l’arrière. Seules la carapace et la ceinture ne possèdent pas cet effet. Les bandes de tissu, la peau de la tortue et même son plastron, bénéficient de cette variation de luminosité qui renforce l’effet cartoon du personnage.
Le point négatif de la peinture se trouve au niveau des yeux, trop orientés vers le haut, comme si la tortue baissait la tête lors du combat pour regarder son ennemi. Mais l’articulation du cou, comme nous y reviendrons dans la partie « articulation » ci-dessous, n’est pas suffisamment prononcée pour lui permettre de baisser correctement la tête. Un regard plus centré aurait donc été peut-être préférable.
Articulations
- Nuque, articulation en rotule 360° ;
- Cou, articulation en rotule 360° ;
- Épaules, articulations en vis 360° et demi-disques 90° ;
- Coudes, demi-disques 90° et vis 360° ;
- Poignets, articulations en rotules 360° (détachable) et demi-disques 45° ;
- Poitrine, rotule articulation très légère ;
- Bassin, articulation en vis 360° jointes et demi-disques 150° ;
- Genoux, doubles demi-disques 60° ;
- Chevilles, articulation en rotules 360°.
Si jusqu’ici, il n’y avait que très peu de choses à redire sur la figurine, c’est peut-être du côté des articulations qu’elle pêche le plus. Quatre détails me chiffonnent pour un souci de bonnes postures dans une vitrine.
Comme nous l’avions déjà abordé dans la section précédente, l’articulation du cou permet trop peu de mouvements. À contrario, chez les figurines 7″ du film de 1990, cette articulation, qui n’est présente qu’au niveau de la nuque, est juste parfaite. Ici, l’articulation est double. Une première au niveau de la nuque pour tourner la tête à 360°. La seconde est à la base du cou, mais n’apporte strictement aucun mouvement. Une articulation plus prononcée aurait été idéale, étant donné que la tortue a besoin d’avoir la tête vers le bas pour renforcer son regard. Elle est d’ailleurs presque inamovible sur certaines figurines !
Le deuxième point noir se trouve au niveau de l’articulation de la base des jambes. Contrairement aux autres figurines, les jambes des tortues sont toutes les deux liées par une articulation à vis, comme un essieu, et non deux articulations distinctes partant dans le bas ventre de la tortue.
Cela présente deux problèmes. Une fois la peur d’avoir cassé la figurine lors de la première manipulation dissipée, on se rend compte que les deux jambes bougent d’avant en arrière ensemble, ce qui peut poser problème pour sa stabilité. Si elles peuvent fonctionner séparément, les jambes vont avoir malgré tout un décalage dans l’articulation horizontale de la cuisse, nécessitant de les remettre au bon endroit régulièrement.
Le troisième problème se situe au niveau de la cheville. Une fois encore, celles présentes sur les figurines du film de 1990 sont parfaites et permettent de réellement poser les pieds à plat, quelle que soit la position de la jambe. En résulte un nouveau problème de stabilité ici, lorsqu’il s’agit de donner une position dynamique à la figurine, le pied ne pouvant toucher totalement le sol. La figurine ne peut donc adopter toutes les postures désirées sans tomber, d’autant plus que la carapace est relativement lourde. Le mouvement perd en réalisme.
Quatrième et dernier point noir, l’articulation aux poignets des mains ouvertes. Cette articulation ne permet que de le faire bouger de haut en bas. C’est une bonne chose, mais aurait peut-être nécessité d’être adapté à la tortue en question, ou avoir une troisième paire de main, permettant de plier et déplier la main en direction de la tortue. Pour Leonardo, cela n’est pas extrêmement problématique, quoi que pouvoir replier la main vers lui, avec les sabres, aurait été un plus dans la richesse des positions adoptées par la figurine. Ce problème est à imputer au fait que les paires de mains avaient été pensées pour un set de quatre tortues, permettant donc de changer les mains à volonté. Si l’on ne possède qu’une tortue, celle-ci se retrouvera très vite à court de mouvements variés.
En dehors de ces reproches, les articulations de la figurine sont classiques et permettent une grande variété de positions. La figurine dispose d’une articulation de rotation au niveau du ventre, mais le plastron et la carapace ne permettent pas réellement de l’utiliser. Avec celle de la base du cou, nous en sommes donc à deux articulations inutiles.
Le coude dispose d’une articulation simple, permettant à la fois de tourner le bras de gauche à droite, mais aussi de haut en bas. Au niveau des genoux, l’articulation est doublée, permettant ainsi de pratiquement mettre la figurine sur les genoux. Elle ne le peut pas à cause des genouillères, bloquant les mollets. Le pied peut avoir une rotation de 360°, mais comme évoqué ci-dessus, il n’est pas possible de beaucoup bouger les chevilles latéralement.
Conclusion
NECA, à travers son sculpteur Trevor Zammit, a réalisé un excellent travail. Si jusqu’à la sortie de cette figurine, de nombreux fabricants s’étaient vantés de sortir des figurines issues du dessin animé de 1987, ils n’avaient jamais fait que prendre leurs potentiels clients pour des pigeons, produisant des figurines uniquement inspirées du style guide de Nickelodeon (et à l’origine de Mirage Studios), et non du véritable design de ce support. Quelque chose qui devrait donc être normal, et qui par cette hypocrisie des autres fabricants, est réellement à souligner. Précisons au passage que le design est plus proche de celui de la première saison, réalisée par les studios de la Toei, que celui des saisons suivantes.
Si le design de la figurine est réellement presque parfait, ses dimensions le sont aussi. Quel régal d’avoir une tortue plus petite qu’un humain ! Par ailleurs, la peinture est également au rendez-vous, soulignant le moindre détail. Le style animated, rendu par ce clair/sombre sur la figurine est un point intéressant, renforçant l’impression d’avoir une tortue qui sort de l’écran de télévision. Une liberté artistique qui peut également gêner des fans qui n’apprécient pas ce style.
Le seul point noir est au niveau des articulations. Si les critiques à leur égard ont été importantes dans cette review, elles ne sont pas pour autant mauvaises. Il aurait été juste préférable de s’attarder peut-être plus sur ces points, d’autant plus que le moule de ces tortues a été réutilisé déjà à quatre reprises jusqu’à la fin 2019 (Arcade game pack en 2016, original cartoon figures wave 1, original cartoon figures wave 2 (style guide) et Turtles in time en 2020).
En dehors de ces remarques, la figurine est réellement fantastique, un véritable plaisir entre les mains et ne peut qu’augurer de bonnes choses pour la suite de cette gamme, depuis si longtemps attendue. Un boulot fantastique !
2017 – Exclusivité San Diego Comic Con
Première édition de la figurine, à l’occasion de la convention de San Diego. Il s’agissait d’un pack de huit figurines, soit les quatre double packs sortis en février 2019.
L’illustration a été réalisée par le dessinateur Ken Mitchroney, à qui l’on doit une grande partie des premiers comics TMNT Adventures publiés dans les années 80-90′ chez Archie Comics.
Février 2019 – Double pack Leonardo Vs. Shredder
Avec l’obtention des droits de vente de NECA auprès de boutiques partenaires aux États-Unis, quatre double packs, reprenant le contenu de la boîte de la San Diego Comic Con 2017, ont été vendus en exclusivité chez Target.
Ouvrant le marché à l’international, ces double packs ont pu être également vendus en Europe au mois d’octobre 2019, et en France entre la fin d’octobre et surtout au début du mois de novembre 2019.
Ce premier double pack voit s’affronter Leonardo et Shredder.
Figurines de Leonardo du dessin animé de 1987
Chez Playmates Toys | Chez NECA
|
Galeries
Packagings
Prototype
Ces images proviennent du site internet de Trevor Zammit.
Photos de la collection de Leomir
Photos officielles
Crédits photos
- Collection de Leomir (Figurines, accessoires et décor).
- Pixel Dan (Figurine Arcade game).
- Matthew Kloberdanz (Photos officielles).
- Trevor Zammit (Images du prototype, site internet de l’artiste).
- Michele Ivey, Cowabunga Corner, 30 novembre 2016 (CCN : Interview NECA TMNT 2016).